Bilan TV 2011


Comme nous vous l’avions indiqué précédemment (cf article du 12/01), les Français regardent de plus en plus la Télévision : 3h47 de durée d’écoute télévision par jour et par personne, soit une augmentation de 15 minutes vs l’année précédente.
Cette évolution est le signe évidemment de la puissance du média télévision, présent dans 98,2% des foyers, mais aussi de la pertinence des contenus proposés et des nouveaux usages, au-delà de la consommation « classique », devant l’écran et en « direct », avec notamment la progression du visionnage des programmes sur les autres écrans – ordinateurs, smartphones, tablettes – via la catch-up.

L’année qui vient de s’écouler a d’abord été particulièrement riche en actualité et évènements (révolutions arabes, catastrophe de Fukushima, affaire Dominique Strauss-Kahn… ), plus une météo chaotique et la crise économique, tout cela a porté naturellement l’intérêt des téléspectateurs. 
Pour l’info, à l’heure de l’immédiateté et des révélations via les réseaux sociaux, le « petit écran » en général et sa « grand messe » des 20 Heures en particulier, continue de montrer sa force. Le direct et l’évènementiel dans l’actualité, qu’elle soit dramatique ou festive, lors des grandes retransmissions sportives ou mondaines se vivent donc toujours en priorité devant la télé. Cela a été particulièrement le cas en 2011, avec la Coupe du Monde de Rugby en Nouvelle Zélande (15,4 millions de téléspectateurs pour la finale) et le mariage princier de Kate et William (11,1 millions de téléspectateurs). À noter que parallèlement, les chaînes d’information en continu trouvent leur place, en fédérant une audience plus large qu’auparavant, et notamment, aux moments des grands rendez-vous habituels de l’info : le matin (prime-time de la radio), autour de 13 heures et 20 heures.

Autre facteur de la bonne santé de l’écoute TV : l’attractivité de plus en plus importante des chaînes de la TNT, dans un contexte où la France a basculé au « tout numérique » depuis la fin du mois de novembre. Qualifiées il y a encore peu de temps de « petites », celles-ci ont démontré en 2011, leur capacité à rassembler un grand nombre. 498 de leurs programmes ont dépassé, dans les 12 mois le million de téléspectateurs, et 6 ont franchi la barre des 2 millions.

Les technologies permettant le visionnage des programmes en différé concernent aujourd’hui 6 personnes sur 10 équipées TV, soit par « léger différé » (système « pause » des box) soit par enregistrement sur magnétoscope ou équipement à disque dur. Mediametrie a pris en compte cette audience en 2011, pour la première fois. Cela a représenté en moyenne 3min39 par jour et par personne. 7,7% des téléspectateurs regardent des programmes en différé chaque jour. Le chiffre atteint 16,2% chez ceux qui sont équipés de Personal Video Recorder. Ce sont les programmes de prime time qui sont les plus concernés, chez cette population sur-représentée chez les 35 – 49 ans et les CSP+.

Si le téléviseur continue d’être considéré comme l’écran le plus important du foyer, le public poursuit maintenant son expérience sur les autres écrans, que ce soit en live ou en différé. En novembre 2011, 29,4 millions de personnes, soit 7 internautes sur 10 ont regardé une vidéo sur ordinateur : une durée de visionnage en moyenne de 3h25, essentiellement consacrée à du contenu en provenance de chaînes TV.

La catch-up est en progression, et a compté 14,5 millions d’adeptes sur 2ème trimestre 2011. Celle-ci fera d’ailleurs l’objet d’une nouvelle donnée Mediametrie en 2012, qui distinguera la catch-up consommée via le téléviseur vs l’ensemble de la catch-up. Nous vous en reparlerons.

Sources : lesblogsmedia.fr – 23/02/2012 & Médiamétrie



Le media TV sait répondre aux besoins de :
  • Notoriété : faire connaître une marque et ses produits/services
  • Image : améliorer / dynamiser / moderniser pour créer une valeur ajoutée et développer l'appétence
  • Trafic : call-to-action (faire venir en magasin et acheter)
  • Marketing Direct : inciter à téléphoner ou à aller sur un site


Pour de l’achat en espace classique ou du parrainage, n’hésitez pas à nous contacter.

Le groupe Bauer lance Closer en Allemagne

10 ans après son lancement à Londres, puis en France en 2005, Closer est lancé en Allemagne.




Consacré aux stars et aux personnalités, le titre est édité par le groupe Bauer (éditeur entre autre, de Maxi, Tina & Bella, Life & Style). Cette nouvelle édition vendue 1,60 €, compte 84 pages et bénéficie d'un tirage de 400 000 exemplaires. Il se destine avant tout à un public féminin âgé de 20 à 49 ans. 
Pour rappel, en France, Closer est le 1er féminin people en diffusion avec 431 703 ex (Diff. France Payée 2010-2011), devant Public (392 011 ex) et Voici (388 573 ex).



Source: Bauer Media/Germany, 20 Feb 2012

Combien de temps les consommateurs français consacrent-ils aux media ?


Quelles sont les nouvelles manières de consommer des Français ? La télévision reste-t-elle leur passe-temps favori ? Internet est-il devenu le média numéro 1 ? Quel temps consacrent-ils à leurs loisirs ? A faire leurs courses ?

Découvrez les réponses à ces questions et à bien d’autres sur le temps des Français grâce à l’étonnante Datavision de La Poste, une synthèse ludique et utile issue de multiples études. Vous y trouverez des clés de compréhension pour mieux rentabiliser le temps libre des consommateurs.



Les investissements publicitaires online bruts à la hausse

En 2011, le montant des investissements publicitaires online bruts s’élève à 3,48 milliards d’euros (+7,6%), soit une croissance supérieure à la moyenne du marché publicitaire (+5,2%) (voir notre article).

Le display enregistre la plus forte progression (après le cinéma) dans le marché plurimédia et représente une part stable de 12,5% des investissements publicitaires français.

Une base solide d’annonceurs
Avec 4 972 annonceurs actifs sur le display, Internet enregistre un léger recul du nombre d’annonceurs référencés : -1,3% par rapport à 2010. Malgré cela, le média consolide et renforce son socle d’annonceurs. En effet, les annonceurs «fidèles» au display génèrent à eux seuls 94% des investissements publicitaires bruts online et 20% des annonceurs représentent 95% du budget display. Les annonceurs TV contribuent fortement à la consolidation du média: les 812 annonceurs présents sur les 2 écrans représentent près de 71% des recettes du Web.

Top 5 des annonceurs display en 2011 : Orange, Microsoft, SFR, FDJ et Google.

10 annonceurs contribuent pour 52% à la croissance du média : Google (+27 millions vs 2010), PMU (+19 millions), Sarenza (+14 millions), Samsung (+12 millions), Paramount pictures (+11 millions), Lactalis (+9,1 millions), Nissan (+8,9 millions), Kia motors (+8,9 millions), Ford (+8,8 millions), Crédit Mutuel (+8,4 millions).

Les trois premiers secteurs investisseurs sur le display sont :
1. Culture et Loisirs : 370,1 millions
2. Banque et Assurance : 360,1 millions
3. Automobile et Transport : 352,1 millions

L’étude présentée a mis en évidence le dynamisme du secteur de la distribution avec, contrairement au marché, un investissement davantage soutenu au second semestre qu’au premier, une forte progression par rapport à 2010 (+31,5%) et une progression sur le média plus forte que sur le plurimédia. Néanmoins, le secteur présente encore un fort potentiel. La part du Web dans les investissements reste inférieure à la part moyenne de l’ensemble du marché.
Le secteur de la mode est dans la même configuration (avec toutefois des niveaux d’investissements plus bas), une forte progression par rapport à 2010 (+41%) et une part de marché en potentiel.

La complémentarité des médias
L’utilisation du display est désormais bien ancrée dans les stratégies marketing des annonceurs, puisque 2/3 d’entre eux combinent le online avec au moins un autre média.
Ainsi, 62 % des annonceurs de la TV  sont aussi présents sur le Web. Ils  génèrent 70,9 % des recettes du Web.
Le format vidéo est en forte progression. Sur l’année 2011, 690  annonceurs  l’ont  utilisé  dont  20% sont issus de la grande consommation.



Source : BILAN 2011 DE LA PUBLICITÉ EN LIGNE - étude Kantar pour l’Interactive Advertising Bureau France et le Syndicat des Régies Internet


L’image de la presse professionnelle

L’IFOP a réalisé une étude pour la Fédération nationale de la presse d'information spécialisée (FNPS) sur l'image de la presse professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures.

De façon générale, le sérieux de la presse pro est largement reconnu : les professionnels la qualifient de crédible et fiable (92%), utile dans l’exercice de leur métier (89%). Elle leur permet de se tenir informé des innovations et expériences (88%), de progresser dans leur pratique professionnelle (78%) et elle contribue à leurs besoins de formation (73%).
Ils sont toutefois 72% à la trouver chère. Un tiers d’entre eux la considère obsolète face à l’information accessible sur Internet.

L’étude met en valeur la forte complémentarité papier-web. Les sites des titres de presse professionnelle sont, à 93%, considérés comme complémentaires des titres papier.





Etude IFOP (les interviews ont eu lieu par questionnaire auto-administré en ligne du 6 au 16 décembre 2011).

Les usages des Français en matière de vidéo en ligne

Yahoo! a dévoilé hier les résultats d’une étude sur la vidéo en ligne afin d’apporter une vision précise des usages vidéo actuels et répondre aux interrogations du marché.

Plus de 2 internautes sur 3 regardent des vidéos sur Internet et la consommation de vidéo est en hausse significative. En moyenne, un internaute visionne 71 vidéos par mois.

Les plus accrocs aux vidéos : les 25-49 ans
Selon l’étude, les plus grands consommateurs de vidéos sont les 25-49 ans : 41% d’entre eux affirment regarder des vidéos sur Internet plusieurs fois par semaine. La vidéo n’est pas seulement l’apanage des plus jeunes puisque les 15-24 ans arrivent en 3ème position (29%) derrière les 50-64 ans (32%).

La vidéo courte, reine du web !
Parmi les personnes interrogées qui ont affirmé avoir regardé une vidéo au cours des dernières 24h, seulement 9% ont regardé un film, 20% ont regardé un programme TV, tandis que 71% ont regardé une vidéo courte (moins de 5 minutes).Véritable reine du web, la vidéo de format court enregistre une forte fréquence de visionnage : 31% sont des consommateurs au quotidien, 36% indiquent regarder plusieurs vidéos courtes par semaine.

Quels sont les critères de choix d’une vidéo ?
Parmi les critères de choix d’une vidéo, le titre joue le premier rôle, à 62%. La qualité de l’image est également déterminante pour plus d’1 internaute sur 2 (51%), suivi par la durée (37%). La source est un critère de choix pour 28% des internautes, qui ont besoin de pouvoir l’identifier clairement et doivent faire confiance au site.
Contrairement aux idées reçues, la popularité des vidéos est importante, mais n’arrive pas dans le trio de tête : 26% des internautes sont influencés par le nombre de vues, et seuls 3% par le nombre de « like ».

Les canaux de partage privilégiés des internautes
Après avoir regardé une vidéo, 62% des personnes interrogées affirment la partager ou la recommander. Lorsque l’on évoque la notion de partage, les réseaux sociaux ne peuvent être sous-estimés : 68% des personnes utilisent ces outils de communication. Suivent l’email, le bouche à oreille et Messenger (respectivement 62%, 38% et 21%). Si l’on prend en considération les plus de 35 ans, l’email arrive largement en tête (79%), suivi par les réseaux sociaux et le bouche-à-oreille (54% et 38%).

Les clips musicaux d’abord
La musique est le type de contenu plébiscité par les vidéonautes à 62%, talonné par les vidéos humoristiques (60%), le cinéma (52%), l’actualité (39%), et les programmes télévisés (34%).

L'illustration ci-dessous synthétise les résultats.



Etude réalisée en ligne, au mois de novembre 2011, auprès de 657 personnes du panel exclusif Yahoo! 


Source : Yahoo ! Service de presse

Du monde dans les cinémas en Janvier

Selon les dernières estimations du CNC, la fréquentation cinématographique atteint 16,24 millions d’entrées au mois de janvier 2012,
soit 11 % de plus qu’en janvier 2011.

Sur les 12 derniers mois écoulés, les entrées dans les salles sont estimées à 217,20 millions, ce qui constitue une progression de 7,2 % par rapport aux 12 mois précédents.





Source : CNC (Centre National du Cinéma et de l’Image Animée)


La diffusion de la presse quotidienne nationale d'information générale a progressé de 2,4 % en 2011, selon l'OJD

Avec une diffusion France payée en hausse de 1,34%, à 321.101 exemplaires, Le Figaro a conforté l'an dernier sa place de premier quotidien national, suivi par Le Monde (292.062 exemplaires, +2%). En revanche, le numéro trois du secteur, L'Équipe, passe sous la barre des 300.000 exemplaires vendus. Le quotidien sportif du Groupe Amaury accuse une baisse de 5,55%, à 285.386 exemplaires. Autre titre phare du groupe de presse de Marie-Odile Amaury, Le Parisien s'inscrit également en baisse, à - 2,27 % (284.196 exemplaires). En revanche, son édition nationale, Aujourd'hui en France, se redresse avec une hausse de diffusion France payée de 0,46%, pour atteindre 169.999 exemplaires.
La meilleure progression de l'année 2011 est enregistrée par Libération, qui gagne 5,35.%, à 119.165 exemplaires. Le titre dirigé depuis près d'un an par Nicolas Demorand se rapproche ainsi du quotidien économique Les Échos, qui grimpe de son côté de 3,34%, à 119.576 exemplaires.
Au rang des titres qui reculent, figurent aussi La Croix (- 0,9%, à 93.586 exemplaires) ainsi que le quotidien économique La Tribune (- 0,8% sur la période disponible de janvier à novembre, à 65.653 exemplaires), qui vient tout juste d'être racheté par le tandem France Économie régions et Hi-Media avant un relancement prévu le 6 avril prochain sous la forme d'un hebdomadaire.

2011 restera surtout marquée dans la presse quotidienne nationale par la disparition, le 13 décembre dernier, de l'édition papier de France-Soir. Sa diffusion France payée s'était effondrée de plus de 30%, pour tomber à 51.821 exemplaires.

Source : lefigaro.fr

Les nouvelles règles de l’affichage

Le Journal Officiel a publié début Février, le décret portant sur les nouvelles dispositions quant à l’affichage publicitaire, prises dans le cadre de la loi Grenelle 2 de juillet 2010.
Limitation de la taille des panneaux, diminution de la densité le long des voies publiques et prise en compte de nouvelles normes écologiques ont présidé à la rédaction de cette règlementation, avec laquelle les municipalités vont devoir se mettre en conformité dans le cadre des RLP (Règlements Locaux de Publicité), d’ici 2020.

Taille des panneaux. 
Dans les villes de plus de 10 000 habitants, la taille des panneaux d’affichage muraux est désormais limitée à 12m² contre 16 auparavant. 
Concernant les bâches de chantier, la surface d’affichage est limitée à 50% de celle de la bâche, comme pour les monuments historiques. Seuls les travaux à caractère énergétique pourront aller au-delà de ce chiffre.

Densité. 
Le long des voies publiques, la distance entre les différents mobiliers est revue à la hausse. Initialement prévue à 80mètres, cette distance pourra faire l’objet d’exceptions notamment quant aux supports fixés au sol et pour les panneaux installés en continuité horizontalement ou verticalement sur des supports muraux. Ces nouvelles règles s’appliquent également à l’affichage de petite surface dans les vitrines des points de vente en centre-ville.

Les nouvelles normes à caractère écologique touchent évidemment essentiellement les dispositifs lumineux, qui devront être éteints entre 1 heure et 6 heures du matin. Les villes de plus de 800 000 habitants sont exceptées, et c’est la Mairie qui devra édicter ses propres règles.

Qui est Rose ?

Rose Magazine est le premier magazine féminin pour les femmes concernées par le cancer

Distribué gratuitement dans les établissements de soins, publics, privés, centres de lutte contre le cancer, eRi (espaces Rencontres informations), il est également disponible dans les 103 comités départementaux de la ligue contre le cancer.
Rose magazine, c’est plus de 200 pages d’enquêtes, de portraits, de guide pratique et de conseils pour rompre l’isolement. Mais c’est aussi un « féminin » classique avec des pages beauté, mode, gastronomie,  psycho… Choisir le registre du haut de gamme relève d’un engagement philosophique et non d’une démarche marketing. C’est affirmer sa filiation avec les grands et beaux féminins « historiques » en poursuivant leur démarche féministe : oui, on peut avoir un cancer et vouloir rester belle.


Une très belle initiative que nous saluons, pour offrir aux femmes un magazine porteur d’espoir, glamour, léger parfois, jamais anxiogène, informatif toujours, et validé par les plus grands experts.

Le 2ème numéro est en préparation et sortira en Avril.
La version en ligne du magazine est consultable ici

Zoom sur les investissements plurimedia en 2011 (étude Kantar Média)

Après une année 2010 symbolisée par la reprise du marché et une progression de 10,2 %, 2011 affiche une évolution plurimédia positive mais modérée à 5,2 % (27,8 milliards d’euros). L’année 2011 a été une année tout en contrastes, avec de fortes disparités dans les évolutions des secteurs et des médias.

Côté media :
  • La télévision conforte son leadership en cumulant 9,4 milliards d’euros d’investissements plurimédia (+6 %) mais surtout grâce aux chaînes de la TNT.  Ces dernières poursuivent leur développement et progressent de + 28,4 % alors que les chaînes historiques sont en baisse de - 1,2 %. Cela est notamment dû au repli des annonceurs de l’Alimentation, que ni la Mode ni la Distribution n’ont compensés. Au global, sur 2011, la télévision cumule près de 39 % de la croissance plurimédia.
  • La presse connaît une année globalement positive (à 7,67 milliards d’euros, soit une croissance de 3,9%), avec des nuances selon les segments (+24,3 % pour les gratuits d’information, +5,4 % pour la presse magazine soutenue par le lancement de nouvelles formules).
  • La radio enregistre une croissance de +6,2 % à 4,2 milliards d’euros. Stations généralistes, musicales, thématiques ou locales: tous les segments ont bénéficié du surplus d’activité notamment au second semestre (dynamisé par les offres de la rentrée).
  • Internet poursuit sa croissance mais est devenu un secteur “mature”. Il progresse de 7,6 % à 3,48 milliards d’euros malgré le retrait de certains “petits” annonceurs en 2011.
  • La publicité extérieure a enregistré 2,7 milliards d’euros d’investissements sur l’ensemble de l’année 2011 et accuse une légère baisse de - 0,6 %. Seuls les formats Mobilier Urbain et Transport ont connu une évolution positive (+ 6,3 % et + 6,8 %) tandis que le Grand Format enregistre une baisse de -2,1%). De manière générale, les annonceurs ont privilégié le local (+ 2,4 %) au national (pour des raisons de zones de chalandise).
  • Enfin, le cinéma a été cette année boosté par une actualité riche en films qui explique sa forte évolution : + 27,1 %. 234 annonceurs ont plébiscité ce média.



Source : panorama dressé par Kantar Media, Ad Intelligence 2011